26/04/2017

Rue des Thermopyles


Connaissez-vous la jolie rue des Termopyles dans le 14ème ? C'est ici que nous avons shooté ce look avec mon vieil ami Henri Buffetaut (vieux par l'amitié, pas par l'âge hein!) par un beau dimanche ensoleillé de printemps. C'est une charmante petite rue pavée et fleurie cachée, près du métro Pernety. Je sais que les articles modes se font plus rares, car j'ai moins de temps pour shooter, aussi j'espère que celui-ci vous plaira ! 

Dans ce look, je porte une robe en néoprène avec un petit top intégré couleur lie de vin. J'adore le côté graphique que le néoprène donne à la robe. Cette nouvelle matière qui a vraiment le vent en poupe révolutionne complètement la mode, permettant aux créateurs de proposer des pièces ultra structurées. Ce tissu dense, épais, consistants, avec lequel on faisait autrefois les combinaisons de plongée (!) est extrêmement malléable et permet de travailler sur les volumes. Il est parfait en ce moment, quand on ne sait plus comment s'habiller et que les températures oscillent entre 5 et 25 degrés ! De plus, la robe est fabriquée au UK, soit en Europe ce qui est important pour moi( un bon point pour Asos, mais ce n'était pas indiqué sur le site...dommage).  

Seul souci sur cette matière, dérivée du caoutchouc synthétique (soit pétrole, soit, plus rarement calcaire) le néoprène est très difficile à recycler. Je ne suis pas très fière de moi sur ce coup-là. L'avantage d'avoir un blog, c'est que je suis devenue beaucoup plus responsable dans ma consommation, et que surtout je m’informe. Parfois je fais des erreurs. Mais je me sens surtout responsable vis à vis de vous mes chers lecteurs. En tout cas je ne vous ment pas, et j'essaye d'être le plus transparente possible, n'hésitant pas à décliner les offres de partenariats de marques avec qui je ne me sentirais pas à l'aise, et cela arrive quasiment quotidiennement ! 

Autre pièce importante et nouvelle de ma garde-robe, ces bottines noires en cuir qui ne quittent plus mes pieds ! J'adore le gros talons rouge et l'empiècement en élastique qui les rendent extrêmement confortables. J'ai craqué quand j'ai vu qu'elles venaient d'Italie ! Minelli fabrique pas mal en Europe (Italie, Portugal) mais encore un peu aussi en Turquie. J'essaye de réduire mon impact carbone, mais ce n'est pas toujours facile de trouver du 100% made in Europe, d'autant plus que tous les textiles quasiment vienne d'Asie. Pour les chaussures, rien ne vaut l'Italie ! Même si on ne sait malheureusement  pas toujours d'où vient le cuir, très souvent du Maghreb, et travaillé dans des conditions moyennes. Un autre sujet qu'il faudra que je creuse dans un prochain article;

D'ici là je vous souhaite un très beau printemps, fait de de balades en forêt, de rosé en terrasses et de pique-niques sur les quais ! Moi ça me donne bien envie d'aller siroter des verres dans le Sud, genre Nice, Cannes ou Montpellier et de préparer mes vacances... en Asie pour la première fois ! Et vous, quels sont vos projets de vacances pour le printemps et l'été ?

Robe Asos - Lunettes Massada - Montre CharlieWatch - Boots Minelli - Collants Gambettes Box - Sac Jean-Louis Scherrer chez Showroomprivé - Boucles D'oreilles perles Asos


















Crédit Photo : Henri Buffetaut

11/04/2017

Meet the H71 Wild Lager


Aujourd'hui je vais parler aux amateurs de bière ! Après le calendrier de bières en décembre, parlons d'une nouveauté chez Heineken, puisque pour la première fois depuis 140 ans, la firme se lance à la conquête de nouvelles saveurs. Grâce à une levure sauvage récemment découverte en Patagonie, la marque dévoile la H71, une "wild lager" mise en bouteille que je vous invite à découvrir.

Une levure sauvage ? ET pourquoi ce nom ?


Longitude 71° ouest. Latitude 41° sud. En novembre 2010, le chercheur argentin Diego Libkind découvre, dans la forêt primitive patagonienne, une levure à l’état sauvage. Les résultats de l’étude ADN ne tardent pas à bousculer le monde brassicole : cette souche se révèle être à l’origine des levures permettant le processus de fermentation basse température des « lagers ». Dont celle de la « Heineken classic lager », la levure A, qui donne son goût si caractéristique à Heineken.

Cette découverte constitue, pour les maîtres brasseurs Heineken, une occasion unique d’explorer de nouveaux territoires organoleptiques. « Car si le malt et le houblon sont, avec l’eau, la colonne vertébrale d’une bière… La levure en constitue l’âme. » Encore faut-il la maîtriser…

Après plus de deux ans d’essai et de patience pour maîtriser cette levure sauvage, Willem Van Waesberghe, avec qui j'ai eu le plaisir de dîner à la Maison Sage, et son équipe relèvent le défi. Une bière d’un nouveau genre est née : la Wild Lager, brassée à partir d'une levure sauvage.

Et elle a quel goût cette nouvelle bière ?

La H71 est très étonnante, elle m'a beaucoup surpris : légèrement corsée, elle est fraîche, florale et épicée, et se boit hyper facilement avec un bon dîner, ou à l'apéro. De couleur blonde aux reflets cuivrés, ses notes d'épices et de thym évoluant vers une légère amertume m'ont vraiment plu. Cela change ! Et pour fêter cela, Heineken s'offre une toute nouvelle bouteille, tout en sobriété.

Titrant à 5.3 degrés, la H71 est exclusivement disponible à la pression en cafés, hôtels et restaurants.

Bonne dégustation !